Dans son bureau, Tucker reçoit la visite de sa mère. Katherine est venue en personne le féliciter à l’occasion de la vente de Jabot à Victor Newman. Tucker ne cache pas sa satisfaction. Il lui avait dit qu’il ferait fortune en vendant une par une les sociétés des Industries Chancellor. Avec l’affaire Jabot, il commence en fanfare.
Malgré ses dires, Katherine sent qu’il n’est pas aussi heureux qu’il en a l’air. Elle lui rappelle qu’elle l’avait prévenu que la vengeance n’est pas aussi réjouissante que ce qu’on croit. Quoiqu’il fasse, elle ou lui, ils ne pourront pas changer leur histoire. Ensuite, elle l’avertit de ne pas crier victoire trop vite. Elle n’est pas facile à battre….mieux, personne ne peut l’abattre. Il a gagné une victoire …..Mais pas la guerre. Gare à lui ! Elle le terrassera
Tucker rigole de bon cœur. Les menaces de Kay ne lui font pas peur….quoique !
Après le départ de Katherine, il se plonge dans l’autobiographie de sa mère. A un moment, il referme le livre et reste songeur.
Chez Jabot, Jack est au téléphone avec une personne à qui il dit qu’il est convaincu que Victor a commis le délit d’espionnage industriel.
Victor arrive.
Jack lui demande s’il est venu l’aider à faire ses cartons. NON Victor est venu lui montrer la nouvelle ambassadrice de Jabot Cosmétiques.
On voit Gloria Bardwell rentrer dans la pièce.
Jack n’arrive pas à en croire ses yeux. Comment Victor voudrait que cette femme, liée au scandale de la crème Glow Again représente la société ?
Gloria explique à Jack que les gens verraient qu’elle est une battante. Jack prévient que le salaire de Gloria sera saisi pour couvrir la dette qu’elle a envers lui. Gloria répond qu’elle a accepté de travailler bénévolement pour Jabot.
Victor propose à Gloria d’aller voir des bureaux.
Dès qu’elle est dehors, Jack demande à Victor pourquoi ressent – il le besoin de se tirer une balle dans le pied en engageant Gloria comme ambassadrice. Victor défend son choix et rappelle à Jack ce qu’il lui avait dit avant de partir en Belgique : il le détruira ! ! ! !
Racheter Jabot n’est qu’un début.
Jack veut savoir ce qu’il compte faire. Nommer " Boucle d’or " (Gloria) à la tête de Jabot ou accorder une interview dans Restless Style.
Victor ne peut rien dire, il préfère le prendre au dépourvu. C’est plus rigolo, ainsi.
Jack regrette d’avoir convaincu Traci de lui donner le cœur de Colleen. Enfin, il en parle. Victor se demandait quand il allait ressasser son refrain préféré. Tous les deux se reprochent de n’avoir aucune conscience. Ils ont promis à Katherine de l’aider à récupérer sa société et qu’est ce qu’ils font ? Ils se livrent bataille.
Victor dit à son pire ennemi qu’il compte rendre Jabot à Katherine
Jack : « quand ? »
Victor : « ceux ne sont pas vos affaires Jack »
Jack veut savoir qui dirigera Jabot. Victor refuse de le lui dire mais l’assure que Jabot sera entre de très bonnes mains.
Un peu plus tard, Katherine rend visite à Victor chez Jabot. Elle demande en plaisantant de lui donner son secret. Victor répond sur le même ton qu’il a offert un petit montant à Tucker pour acquérir cette société.
Kay déclare qu’au moins, Jabot sera en de très bonnes mains. Victor déclare qu’il en sera ainsi jusqu’à ce que Jabot revienne entre les mains de Kay. Ils en viennent à parler de Tucker. Kay sait que son fils le hait et qu’à cause de cela, il n’a aucune once d’humanité en lui.
Kay s’en va. Gloria vient voir Victor pour lui proposer ses idées mais il n’est pas intéressé. Elle insiste, il lui redit la même chose. Gloria se demande s’il sera un jour intéressé par ses idées. Même pas en rêve ! Elle n’est qu’un pion dans l’échiquier de Victor Newman.
Cela ne l’empêche pas un peu plus tard de savourer toute seule dans le bureau de Jack sa petite victoire. Assise sur le siège du PDG, Gloria se voit gravir très vite les échelons dans la société de son défunt mari, John Abbott.
Dans la librairie, Ambre raconte Daniel qu’elle a eue des nouvelles de sa mère et de Little D. Le garçon est bel et bien chez sa mère mais contrairement à ce que Deacon lui a dit, Petit Deacon ne se souvient plus d’elle.
Daniel n’est pas étonné. Il ne faut pas se fier à Deacon Sharpe.
Ambre a appris que Deacon avait donné à sa mère assez d’argent pour s’occuper pendant un long moment de son fils. Daniel avoue qu’il est soulagé d’apprendre qu’ils n’auront pas à prendre le garçon sous leur toit car il n’est pas prêt pour être père.
Ambre veut savoir s’il sera un jour prêt parce qu’elle se sent prête à avoir un bébé.
Daniel explique à sa femme qu’il vient à peine d’être libéré de prison. Il veut construire une vie avant de fonder une famille.
Ambre est mécontente. Son horloge biologique tourne.
Daniel reste ferme. Pour le moment, il est hors de question d’avoir un enfant.
Daisy arrive. Elle reste un moment à l’écart pour écouter leur conversation. Ensuite, elle s’approche et remet à Daniel l’appareil photo qu’il lui avait prêté. Elle a acheté un nouvel appareil.
Ambre décide de s’en aller. Daniel est surpris puisqu’ils devaient aller dîner. Ambre a perdu l’appétit.
Daniel reste avec Daisy. Ils s’installent à une table afin qu’il lui explique comment utiliser son petit joujou. Il regarde les photos qu’elle a faites. Daisy en sortir un autre appareil photo et prend une photo de lui. Il est surpris. Elle lui raconte qu’elle n’a jamais eu de petit ami parce que les garçons du lycée sont trop immatures. Elle préfère sortir avec un garçon beaucoup plus âgé.
Daniel lui dit que si elle était sa petite sœur, elle lui conseillerait de ne pas se précipiter à sortir avec des garçons plus âgés qu’elle et la laisse.
Daisy reste à contempler sur son appareil photo, la photo qu’elle a faite de Daniel.
Ambre a retrouvé Katherine au néon écarlate. Elle lui raconte sa dispute avec son mari. Kay conseille sa jeune amie d’être patiente. Ils ont encore le temps pour fonder une famille. Pourquoi ne pas attendre un an ou deux ?
Ambre n’a pas l’air d’être accepter cela mais quand son mari la rejoint, elle dit le comprendre. Ils font la paix.
Jack est au café quand il reçoit un appel de quelqu'un qui lui raconte ce que Victor offre très élevée a été de Jabot. Jack se dit: "Il n'a pas de sens. Pourquoi ferait-il cela? Il s'assoit avec Katherine sur le patio. Elle songe qu'il doit être déçu. Jack la prévient qu'elle ne devrait pas retenir son souffle dans l'attente de Victor pour revenir à son Jabot - il mai signifie pas pour piquer elle, mais il va - c'est sa nature.
Dans un bar à New-York (en fait, à bien y regarder, les acteurs tournent dans le studio qui sert de décor à l’athlétique club. Ils ont essayé de nous leurrer avec des décos mais on reconnaît la fausse cheminée de l’athlétique club de Génoa City), Victoria prend des dispositions pour prendre un autre vol parce que le sien a été retardé.
Elle commande une boisson au bar. Elle boit quand on voit William Abbott arriver. Il est au téléphone avec Chloé. Il porte avec lui un énorme chien en peluche pour Délia.
Billy annonce à son ex-femme que son vol a été retardé. Il s’installe au bar. Victoria fait la moue. William Abbott, ici, oh non ! Elle ne peut pas l’éviter puisqu’il est à côté de lui.
Victoria se retourne : « Salut Fancy Pants »
William rigole. NON ça doit une plaisanterie. Un Abbott et une Newman ensemble. Incroyable !
Il demande à Victoria comment c’était Dublin. Elle rectifie : Dubaï pas Dublin. En voyant le chien en peluche, elle lui demande s’il avait besoin de compagnie. NON la peluche est pour sa fille qui fête son premier anniversaire. Victoria n’est pas la seule à observer. William remarque également qu’elle a un petit sac rouge. Vicki avoue que c’est un cadeau d’anniversaire de mariage pour son mari.
William : « c’est quand le grand jour ? »
Victoria : « aujourd’hui »
Il souligne que ce n’est pas une belle façon de passer sa fête. NON Et il n’a pas intérêt à publier dans Restless Style qu’elle a passé seule une fête dit-elle. Elle lui demande s’il a suivi ses conseils en son absence.
Billy : « quels conseils ? »
Victoria lui avait déconseillé de ne pas « détruire » sa réputation durant son absence. Pour toute réponse, William sort de ses bagages le dernier exemplaire de Restless style : « je suppose que tu ne l’as pas lu ? »
Victoria est horrifiée lorsqu’elle voit son père à la une. William lui demande de réfléchir avant de monter sur ses grands chevaux. La photo est authentique. Son père a posé devant l’objectif et mieux, il lui a accordé une interview.
Victoria croit qu’il a déformé les propos de son père parce qu’elle est persuadée que son père n’a pas pu dire qu’Adam était un sociopathe…et qu’il avait honte que son demi-frère porte le nom des Newman.
William assure à Victoria qu’il a publié mots pour mots les propos de son père.
Il lui demande si ça lui fait plaisir de voir le mouton noir de la famille traîné dans la boue en public.
Victoria : « pas de commentaires »
Pour William, elle aura beau dire « pas de commentaires », il voit bien dans ses yeux qu’elle est contente du sort réservé à Adam. Elle le prévient. Il n’a pas intérêt à publier quoique ce soit sur sa réaction. William lui offre le magazine. Bientôt, un autre numéro doit paraître. Elle lui demande comment il fait pour s’enrichir sur le dos des autres. Elle baille.
William note à quel point elle est fatiguée. Vicki admet qu’elle a fait un très long voyage. Il commande deux autres boissons et deux plats pour eux. Elle se lève pour aller s’asseoir à une table un peu plus loin.
William murmure au chien en peluche : « je crois qu’elle nous aime bien »
Quelques minutes plus tard, on les voit assis à une même table entrain de manger. Victoria trouve la nourriture infecte. Ils plaisantent tous les deux. Puisque William a l’habitude de l’appeler Princesse, il sort de ses paquets une mini-couronne qu’il met sur sa tête.
Il continue à la charrier en l’appelant « mon altesse royale »
A un moment, Victoria finit par s’endormir. William la regarde avec amour mais il se détourne rapidement avec le regard qui dit « mais qu’est ce qui m’arrive ? C’est une Newman ! Jamais ça ne pourra marcher entre nous »
Pendant ce temps, J.T rentre chez lui. Mac a gardé Reed. Il lui apporté une pizza. Elle se précipite là-dessus. Mlle Browning a fait depuis qu’elle attend des jumeaux. Mac invite J.T à manger avec elle mais il refuse. Il préfère attendre sa femme. Ils iront manger et danser à l’Indigo. Il montre à Mac le cadeau qu’il a acheté à Victoria. C’est un pendentif.
Mac est certaine que Victoria adorera le bijou d’autan plus qu’il y a fait mettre la photo de Reed.
J.T est bienheureux qu’elle lui remonte le moral. Il lui demande si elle a fait des rencontres. NON Il est difficile de débuter une relation amoureuse lorsqu’on est enceinte. De plus, elle n’a pas totalement oublié William.
J.T veut savoir si elle a des regrets à ce propos. NON Mais William n’est pas un homme facile à oublier.
Ils jouent à un jeu de société. Le temps passe. J.T se dit que sa femme ne rentrera pas ce soir. Ils vont dans la cuisine préparer à J.T de quoi manger.
Quelques instants plus tard, l’heure se faisant tardive, Mac décide de rentrer. Avant de partir, elle lui dit que s’il a besoin d’elle pour faire du baby sitting, qu’il n’hésite pas à l’appeler. J.T la remercie d’avoir passé la soirée avec lui. Mac s’en va.
Au néon écarlate, Jack reçoit l’appel d’une source. Celle-ci lui donne le montant exact que Victor a proposé à Tucker McCall. Jack ne comprend pas pourquoi Victor a fait une telle offre. Jabot n’en vaut pas tant. Après avoir raccroché, il aperçoit Katherine sur le patio : « Bonsoir Katherine »
Compatissante, elle l’incite à s’assoir avec elle à sa table car elle sait qu’il a du très mal vécu la perte de Jabot. Jack reste optimiste et lui conseille de ne pas croire aux promesses de Victor car il est convaincu que Victor n’aidera pas Katherine à récupérer les Industries Chancellor.
Pendant ce temps, dans son bureau-appartement, Tucker reçoit la visite de Victor.
Tucker lui offre un verre. Tous les deux parlent de l’achat de Jabot. Tucker ne cache pas à Victor qu’il a compris son jeu : Victor a racheté Jabot pour la redonner à Katherine.
Victor ne confirme rien du tout et lui conseille de faire attention à Katherine : « vous la sous-estimez »
Tucker admet qu’il a raison. Katherine est une adversaire beaucoup plus coriace qu’il le pensait. Surtout maintenant qu’elle a un allié de taille tel que Victor Newman. Ce dernier déclare que Kay n’a pas besoin de lui, elle est assez forte elle-même.
Tucker souligne combien c’était étrange de la part de Victor d’avoir fait une offre plus élevée que celle des Abbott en toute dernière minute. Victor relativise. Jabot est un investissement comme tout autre. Il est temps pour Moustache de partir. Il remercie Tucker pour le faire et pour Jabot : « bonne fin de journée »
Tucker : « à vous également »
Victor sort du bureau. Devant la porte, il a un sourire satisfait.