Daniel est toujours dans l’appartement de sa mère à s’occuper de Lucy. Il l’appelle de nouveau mais tombe encore une fois sur son répondeur, il lui laisse un message puis raccroche. Il demande à Lucy : « où est ta maman ? Où est ta maman ? Tentons autre chose »
Il appelle Nick. Ce dernier est au néon écarlate.
Nick : « salut Daniel ! Quoi de neuf ? »
Daniel : « Salut Nick ! Je suis chez maman »
Nick lui dit qu’il ‘arrive car Phyllis lui a demandé de garder Summer et Lucy ce soir. Daniel le sait puisqu’elle le lui a dit : « elle ne répond pas à son téléphone. Sais-tu où elle est partie ? »
Nick est obligé de ne rien lui dire puisqu’il l’a promis à Phyllis, cependant, quand Daniel lui dit que Daisy est sortie de prison et que la nounou l’a laissé entrer chez sa mère, il lui dit la vérité. Daniel apprend que sa mère est allée voir son grand-père dans le Connecticut. Il est surpris parce qu’il croyait qu’elle le détestait. Nick lui explique que Phyllis vient de découvrir que son père est sur le point de mourir alors, elle devait régler un vieux contentieux avec son père. Daniel lui demande dans combien de temps, il compte arriver car il doit se rendre dans le Connecticut.
Au Centre de soins palliatifs, Phyllis n’arrive pas à croire que son père a enfin admis qu’il avait escroqué tant de gens. George déclare qu’il a juste saisi une opportunité qui se présentait à lui.
Phyllis : « ils te faisaient confiance ! »
George : « Phyllis, un investissement est un risque. Ils en ont pris un, ils ont perdu »
Phyllis est outrée qu’il ne ressente pas le moindre remord, ni pour elle, ni pour ces pauvres gens. George lui demande pourquoi, il devrait culpabiliser. Peut être pour paraître plus humain rétorque t- elle. Il lui demande ce qu’elle attend de plus que son aveu. Il est coupable, un point, c’est tout !
Avery rentre : « Papa, comment peux-tu dire que tu es coupable ? »
George devient livide en voyant sa fille cadette.
Avery : « papa ? »
George : « Avery ? Je ne savais pas que tu étais là »
Phyllis : « bien sur, sinon, tu n’aurais jamais avoué la vérité si tu savais qu’elle était ici »
Avery : « ce n’était pas la vérité »
Phyllis : « oh si ça l’était. Tu l’as bien entendu »
Avery veut croire que son père a fait cet aveu juste pour faire plaisir à sœur. Phyllis n’a pas l’intention de la laisser croire ça alors, elle hurle à son père d’avouer une nouvelle fois de plus ses méfaits. Avery la supplie d’arrêter.
Phyllis : « dites le lui »
Avery : « Papa, tu n’as pas à répondre »
Phyllis : « parle ! »
Elle insiste. George et Phyllis se disputent. Elle finit par lui dire qu’il peut pourrir en enfer maintenant qu’il a fait cette confession sur son lit de mort. Avery finit par comprendre que tout à l’heure son père disait la vérité. Il tente de nier mais finit par confesser de nouveau ses crimes. Avery est effondrée ! Elle n’arrive pas à croire que durant toutes ces années, elle a grandi en haïssant sa grande sœur. Il lui a fait croire qu’il avait été injustement arrêté, c’est pourquoi, elle a consacré sa vie à défendre les causes perdues. Elle tenait tant à devenir l’avocate des personnes victimes d’erreur judiciaire : « oh mon Dieu, combien d’entre eux, coupables comme toi, ai-je remis en liberté ? »
George : « oh Avery ! »
En larmes, Avery dit à son père : « non ! Non ! Ma vie entière est basée sur un mensonge, ton mensonge. Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour toi. Tout ! Est-ce que maman est au courant ? »
George : « nous n’en n’avons jamais parlé mais elle devait s’en douter »
Avery tombe des nues !
George : « essaie de comprendre »
Avery refuse de l’écouter parce qu’elle sait qu’elle ne pourra jamais comprendre pourquoi ses parents ont préféré lui mentir durant toutes ces années : « ils m’ont menti ! Ils m’ont menti »
Phyllis : « j’ai essayé de te le dire » Elle décide de rentrer chez elle auprès des siens.
Avery suit sa sœur jusqu’à l’ascenseur pour la supplier de revenir dans la chambre de leur père afin de lui demander quelles sont les raisons pour lesquelles, il s’est comporté de la sorte. Phyllis ne veut pas. Avery insiste pour qu’elle lui dise à quel point, il lui a fait du mal. Elles retournent dans la chambre. George demande à ses filles si leur retour veut dire qu’elles ont entendu raison. Avery lui demande d’écouter. Phyllis demande à son père pourquoi, il a fait ces choses. Détourner cet argent, était-il important qu’elle. George répond qu’il voulait leur offrir tout le confort matériel qu’il croyait qu’ils méritaient. En larmes, Phyllis l’accuse d’avoir brisé sa vie en faisant d’elle un paria. Seule consolation pour elle, c’est qu’Avery a fini par réaliser qui, il était vraiment. Son père la supplie de ne pas partir parce qu’il est entrain de mourir. Les excuses sont de rigueur. Devant la porte, Phyllis se contente de dire froidement que ça fait des années qu’il est mort pour elle puis s’en va.
Avery demande à son père si ses mensonges en valaient la peine. Quand elle pense qu’il a menti durant toutes ces années pour se protéger uniquement.
Angelina et Kevin sont dans leur nouvelle maison. Elle ouvre un carton rempli d’ustensiles de couleur roses et lui demande s’il veut l’aider. NON Kevin est entrain de griffonner quelque chose sur un bloc note. Elle propose qu’ils parlent mais il lui rappelle qu’ils sont mariés pour la galerie et rien d’autre. Angie le sait mais ça ne l’empêche pas de vouloir devenir son amie. Est-ce qu’il est d’accord ?
Au Gloworm, Michael a mis sa mère au courant à propos de la libération de Daisy. Ils mettent au point, les roulements pour aller chercher Fen à l’école. Il raccroche et dit à sa femme et à Jill que Gloria s’est occupée des doubles des serrures des portes et Angelo a posté un gardien devant chez eux. Lauren est satisfaite. Jill n’arrive pas à croire que la peine de Daisy a été réduite. Lauren lui affirme qu’aucun d’entre eux n’arrive à y croire.
Jill : « est ce que Phyllis est au courant ? » NON répond Michael. Il ne fait que tomber sur sa messagerie.
Lauren : « et Kevin ? »
Michael : « je tiens à le lui dire en personne »
Lauren l’encourage à partir mais il ne tient pas à la laisser toute seule. Lauren l’assure qu’elle va bien et Jill promet de rester avec sa sœur. Il accepte de partir.
Après son départ, Lauren invite sa sœur à prendre un verre. Jill accepte avec plaisir. Elles se dirigent vers le bar pour commander deux vodkas martini. Lauren veut payer mais Jill s’y oppose, elle tient à le faire. Lauren insiste, ouvre son sac à main et sort de la monnaie. On aperçoit son révolver dans son sac. Les deux femmes commencent à papoter, rigoler lorsque Daisy apparaît et salue Lauren de sa douce petite voix.
Lauren lui ordonne de ne pas s’approcher d’elle : « restez loin de moi avant que je ne fasse quelque chose que tu regretteras »
Daisy dit espérer qu’elles oublient le passé. Lauren refuse de tomber dans son piège. Daisy jure que son séjour en prison l’a changé. Aucune des sœurs Fenmore ne la croient.
Daisy : « je suis libre maintenant. Pour votre bien, vous feriez mieux de vous y habituer »
Elle les laisse.
Jill remarque que sa sœur tremble.
Lauren : « je suis morte de peur »
Jill la réconforte. C’est là que Lauren lui montre son arme et la range immédiatement afin que personne ne la voie.
Jil : « oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! »
Elles s’installent à une table.
Jill : « tu as achetée une arme ? »
Lauren : « je sais ce que tu vas dire »
Jill : « oui ! Je me fait du souci pour toi »
Lauren l’assure qu’elle n’a pas à s’ne faire car elle sait exactement ce qu’elle fait. Elle a un permis de port d’arme et s’entraîne durement pour être au point. Elle avoue aussi qu’elle cache son arme dans le coffre de leur bureau à a boutique.
Jill : « oh mon Dieu ! Est-ce que Michael est au courant ? »
Lauren : « il l’ignore »
Chez les Fisher, Kevin avoue à sa femme qu’il est entrain d’élaborer un plan pour qu’ils puissent divorcer sans problème. Angelina lui avoue qu’elle aimait bien l’idée qu’ils jouent la comédie un peu plus longtemps. Il veut divorcer afin que chacun d’entre eux puisse trouver la personne qui leur convienne. Pour elle, il est l’homme idéal. Il la remercie cependant, il ne peut s’empêcher de repenser à ce qui s’est passé au tribunal tout à l’heure. Ça la fait réfléchir. En effet, la dernière fois qu’il a perdu le contrôle de sa vie, il y a eu une victime : Jana. Cette fois ci, il ne tient pas à ce que ça arrive à un des ses proches, y compris, elle : « si Daisy est libérée de prison »
Angelina : « peut être qu’elle ne le sera pas »
Kevin : « merci »
Angelina continue à le réconforter en disant que même si Daisy s’en sort, il ne doit pas culpabiliser puisqu’il a témoigné contre elle et qu’il n’y a rien qu’il pouvait faire d’autre. Il regrette de n’avoir pas pu mieux protéger dans le temps, Lauren et jana et il regrette de se montrer lâche face à Angelo. Elle l’assure qu’il est l’homme le plus courageux qu’elle connaisse et si quelqu’un ose dire le contraire, elle le bute. Il la supplie de ne pas dire ça.
Angelina : « c’est juste une expression »
Kevin : « ah oui ? Et bien, va le dire à Papa »
Angelina lui dit qu’il est un mec super. Il rétorque qu’elle n’est pas en reste et la prend dans ses bras au moment ouù Michael arrive : « oh désolé ! La porte était ouverte. J’espère que je ne vous dérange pas ? »
Angelina propose une bierre à son beau-frère. Il refuse et s’excuse de les avoir déranger tout à l’heure. Ils l’assurent qu’il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Michael promet que la prochaine fois, il sonnera. Ensuite, il demande à Angelina s’il peut les laisser. Elle accepte.
Dès qu’ils sont seuls, Micheal annonce à son frère qu’il a une mauvaise nouvelle à lui annoncer. Kevin comprend que Daisy vient d’être libérer. Michael regrette de n’avoir pas eu le temps de préparer plus face à Avery. Kevin lui demande de ne pas s’en faire car il a fait ce qu’il a pu, comme toujours.
Michael : « oui, et bien, malheureusement, ça n’a pas suffit »
Kevin demande ce qui va se passer maintenant. Michael répond qu’ils doivent protéger les personnes que Daisy peut attaquer.
Kevin : « Lauren »
Michael : « elle est en haut de la liste »
Kevin : « comment, va-t-elle ? »
Michael répond que sa femme fait mine que tout va bien mais il sait que ce n’est pas vrai. Kevin le remercie d’être venu lui parler de Daisy. Michael déclare qu’il n’est pas venu uniquement pour cette raison. Il veut savoir pourquoi, Kevin a abandonné Chloé devant l’autel. Kevin répète son refrain : il est là où il doit être. Malgré l’insistance de son frère qui lui demande si Angelo le fait chanter, Kevin ne révèle pas la vérité sur son mariage. Avant que son frère ne s’en aille, il le remercie de se soucier de lui. Michael part.
Angelina sort de sa cachette. Elle a tout entendu.
Nick est arrivé chez Phyllis. Daniel lui dit qu’il a mis les filles au lit : « je dois aller à l’aéroport »
Nick : « écoute Daniel »
Daniel refuse que Nick veuille le convaincre de ne pas aller dans le Connecticut. Nick lui dit que ce n’était pas son intention car il comprend parfaitement pourquoi, il veut y aller. Lui-même a été il y a longtemps dans cette situation.
Daniel : « maman n’aurait pas dû me le cacher »
Nick : « la relation entre ta mère et son père est très compliquée »
Daniel regrette que ce soit le cas dans leur famille. Nick lui rappelle que c’est le lot de toutes les familles et lui demande de s’en aller s’il ne veut pas rater son vol. Daniel trouve bizarre qu’il soit sur le point de connaître et de dire adieu à son grand-père.
Nick ouvre la porte à Daisy : « que voulez-vous ? »
Daisy : « je suis ici pour voir Lucy » Il refuse. Elle lui montre les papiers du tribunal qui lui permette de voir son enfant. Nick refuse toujours qu’elle s’approche de Lucy et referme la porte. Daisy murmure qu’elle n’a pas dit son dernier mot.
Quelques minutes plus tard, on frappe de nouveau à la porte, c’est un policier qui dit à Nick qu’il est là pour faire respecter la Loi : Daisy a le droit de venir voir sa fille. A contrecoeur, il la laisse entrer. Daisy prend sa fille dans ses bras : « maman est de retour »
Au Gloworm, Jill confie à sa sœur qu’elle aimerait avoir un homme à qui confier ses secrets. Lauren explique qu’elle n’a pas l’habitude d’avoir des secrets pour son mari.
Jill : « c’est la raison pour laquelle, tu as un homme dans ta vie »
Lauren : « je ne pourrai même pas imaginer ma vie sans lui »
Jill envie la stabilité affective de Lauren car elle n’a eu droit ces derniers temps à un escroc, un playboy et un bigame.
Lauren : « oui ! Tu n’as pas eu beaucoup de chances avec les hommes »
Jill : « merci ! C’est une très belle façon de dire « tu as été idiote, Jill »
Lauren refuse qu’elle dise cela. C’est Jeffrey, Tucker et Colin les idiots.
Jill : « tout ce que je peux dire, c’est qu’ils ont sacrément de la chance que je ne possède pas d’arme dans mon sac »
Lauren lui demande de lui donner sincèrement son avis sur cette arme à feu. Jill trouve normal que sa sœur veuille se protéger, toutefois, elle lui conseille de dire la vérité à son époux. Jill trouve normal que sa sœur veuille se protéger, toutefois, elle lui conseille de dire la vérité à son époux. Lauren n’a pas l’intention de le faire et elle a peur que sa sœur révèle son secret. Michael arrive à ce moment là et demande de quoi elles parlent. Jill est mal à l’aise mais cela ne l’empêche pas de soutenir sa sœur qui dit à son mari qu’elles parlaient de choses de filles. Michael n’est pas convaincu. Jill est dans ses petits souliers. Michael demande à sa femme si tout va bien. Elle répond à l’affirmative.
Dans le hall du centre de soins palliatifs, Avery appelle sa mère mais tombe sur répondeur. Elle lui demande de la rappeler parce qu’elles doivent parler.
Une aide-soignante vient dire à Avery que son père est prêt à rendre l’âme. Avery lui demande si elle a vu sa mère. La femme répond qu’elle ne l’a pas vu depuis qu’elle lui a dit que la fin était proche. Avery ne comprend pas comment sa mère a pu s’en aller en sachant que son mari allait mourir d’une minute à l’autre. Phyllis lui explique que ne pas venir au chevet de George est une façon à Lydia de lui faire comprendre qu’elle n’a jamais approuvée ses décisions. Avery refuse de croire que leur mère était au courant de tout. Phyllis la supplie d’ouvrir les yeux. Elle veut s’en aller. Avery est catastrophée à l’idée de laisser leur père mourir tout seul. Phyllis lui dit qu’elle peut le faire. Avery décide de repartir dans la chambre. Phyllis lui interdit de le faire.
Kevin qui avait raccompagné son frère dehors revient chez lui. Il voit Angelina et lui demande depuis combien de temps, elle est là. Angie lui avoue qu’elle a entendu des brides de sa conversation avec son frère.
Kevin : « il prend à cœur son rôle de grand-frère »
Angie regrette qu’il doive mentir toutes les personnes qu’il aime. Kevin lui rappelle que c’est pour la bonne cause mais elle s’en veut terriblement. Elle avoue qu’au début, elle pensait que leur situation serait rigolote mais aujourd’hui, elle admet que ce n’est drôle pour aucun d’eux. Cela tombe bien, il a des idées pour les sortir de là. Angie est prête à l’aider. Il lui parle.
Avery supplie sa sœur mais Phyllis lui dit qu’elle n’est pas obligée de retourner dans la chambre. L’aide-soignante revient : « il est parti »
Avery se met à pleurer.
Phyllis : « c’est terminé »
Avery demande à sœur si elle va lui pardonner ce qu’elle lui a fait. Fifi répond que tout appartient au passé. Il n’y a plus aucune raison qu’elles se fassent du mal.
Avery : « je crains qu’il ne soit trop tard »
Phyllis : « pourquoi ? »
Avery : « j’ai réussi à faire libérer Daisy de prison »
Phyllis : « quoi ? »
Avery : « aujourd’hui »
Phyllis n’arrive pas à y croire : « je jure que si ce monstre met la main sur mon enfant, ce sera la guerre entre nous » sur ces mots, elle s’en va.
Quelques instants plus tard, on voit arriver suivre la dépouille de son père qui est transportée à la morgue. Ensuite, elle s’en va.
Daniel rentre dans la chambre qu’à occupé George. Il aperçoit l’aide-soignante de tout à l’heure qui range les effets personnels du patient dans un carton. Il lui dit qu’il cherche son grand-père : George Summers. Elle lui annonce qu’il vient de mourir et lui demande s’il est venu chercher ces affaires. NON Par contre, Daniel demande à rester seul dans la chambre. Elle s’en va. Il voit dans le carton, une photo de Phyllis et d’Avery enfants, la prend et l’observe.